Nom : Jurah
Prénom : Jurah
Age : D'apparance 22 / 25 ans
Race : Humaine
Métier : Assassin
Profil : Grande des cheveux blancs lui tombant au genoux, un peau légerement mate, des yeux tres sombre melangeant le noir au bleu foncé. Elle porte un gant en cuir noir a son bras droit qu'elle ne quitte jamais.
Caractère : Calme, curieuse, renfermé et froide
Qualités/Défauts : Patiente mais peut compréhensible
Arme/Pouvoir : Son bras droit qui est gelé le moindre touché peut glacé n'importe quoi ou qui voir meme transformé la personne en glace, voir plus.
Aime/Déteste : L'eau chaude, son protecteur et le chien noir.
Proverbe favori : Celui qui regarde longtemps les songes devient semblable à son ombre.
Signe particulier : Ses cheveux blancs et leurs longueurs et son gant.
Histoire :
Le temps semble s’être effacé de ma mémoire…Qui suis ? Qui est ce ? Pourquoi suis-je-la ? Quand ? Comment ? Et si ?
Toutes ces questions dénuées de sens…
Pourquoi suis-je-la ? Dans cette eau, pourquoi est-elle si noire ? Elle l’est peut être ou c’est moi qui ne comprends pas…Pourquoi elle est froide ? Pourquoi tant de pourquoi ? Je devrais lui demandé il sera peut être quelque chose….
J’ai sommeil comme toujours, je voudrais penser mais a quoi sa servirait je suis une enfant parmi c’est gens…Pourquoi le feu brule t’il ? Il faut que j’arrête les pourquoi ca ne me servirait a rien de toute façon, je ne suis rien…Et je ne sais rien.
Mon dernier souvenir c’est cette homme au dessus de moi, puis le néant c’est peut être mieux comme ca.
Je suis différente des autres, ce sentiment de vide s’accroit de jour en jour…Tiens l’eau devient chaude, pourquoi ? Toujours des pourquoi, ma conscience reprend un peu et je sors de mon cocon il est la, il a réchauffé l’eau de la baignonre enfin de la chose dans quoi je suis avec de l’eau, c’est surprenant l’eau ne s’échappe pas de la ou elle est elle est comme moi enfaite.
Mais revenons a maintenant il réchauffe l’eau et repart comme si de rien n’était, j’ai honte de ce que je suis et ce que je fais…J’ai tué…et je tuerais encore car c’est plus fort que moi, il me le demande et je fais…
J’ai essayé de mourir rien n’y fait…Suis-je maudite ? Peut être âpres tout.
Je lève la tête devant moi sur le bord de la « chose » je vois un objet brillant ca attire mon regard cette petite chose, du bout des doigts je l’attrape c’est froid je peux y voir mon reflet des cheveux blanc avec des yeux sombres suis-je belle ? J’ai du l’être un jour surement.
Lentement je la glisse sur ma peau le froid ne me dérange pas c’est amusant plutôt, lentement je la dirige sous mon poignet et je tranche comme la gorge de cette homme il y a quelques jours, le sang s’écoule encore et encore…Pourquoi est ce rouge ? Et si chaud, j’aime cette couleur, lentement l’eau de la baignoire ce colore de ce rouge, je plonge ma main dans l’eau puis je la ressors la coupure a déjà disparut je regarde ma main absorbé par cette plaie qui se ferme. La porte s’ouvre déjà ? Il me voit ainsi il fronce les sourcils en soupirant, il marmonne un « Sort de la ! Et arrêtes de te blesser. » Il est habituer maintenant…
Je sors de l’eau nue, sous son regard, sans le moindre complexe il me regarde mais pas de ce regard d’envie il me surveille plutôt. J’hésite puis je prends un ensemble noir comme toujours mes cheveux tombant a mes genoux. J’avance lentement sans parlé je parle rarement je grogne plus que je ne parle, puis je panique ou l’ai-je mis ? Cette chose que je porte, pas sur le lit n’y dans la salle d’eau, ou ! Non je n’ais pas put la perdre !
Je cours vers lui, il est la sur son fauteuil, je le fixe il doit sentir mon regard paniqué car il lève la tête, il essaye de comprendre puis je marmonne a mon tour en pointant mon cou, il semble comprendre car il fouille sa poche et me tend ma bague. Je me jette dessus la tenant ferment comme si c’était une bouée de sauvetage.
« Fais attention la prochaine fois… »
Je fais un signe de tète en souriant la moitié de la bague et effacé un nom était dessus, seul la date et encore visible « 25 mai 1975 » Chaque année je me rends dans une église, notre dame qu’est que j’espère la bas ? Voir quelqu’un qui me rendra ma mémoire ou juste quelqu’un qui arrivera a me tué ?
Je me rappel hier je n’étais pas seule un homme et un chien, l’homme s’en va laissant l’animal seul, je reprend ma fixation sur les statue blanche de la femme avec l’enfant, puis des bruit de pas un homme s’avance ses yeux son cramoisie, qu’ils sont beaux je le fixe s’en m’en rendre compte comme si il avait été a moi des lèvres au corps….Mais qui aurait aimé ce que je suis surement pas lui…je regarde mes mains pour y trouver ma bague était elle vraiment a moi ? Ou l’avais je volé ? Il s’assoit prés de moi je tourne la tete pour le voir, il est beau mais effrayant comme enragé ? Suis-je si monstrueuse ?
« Pourquoi ? »
Je sursaute a sa voix rauque, il me parle lui aussi dit pourquoi, pourquoi ? Je lui réponds ma voix semble remplit d’écho de vide, elle me fait peur…
« Tu es juste une ombre… »
Quand j’ouvris de nouveau la bouche pour prononcé un mot, il c’était levé et été partit je croisais le regard de deux jeunes hommes, une douleur serra mon cœur en les voyant, j’avais oublier cette douleur, drôle comment des gens peuvent vous faire ressentir des choses.
En les voyant partir le regard remplit de l’arme de la fille me rendit malade.
Pourquoi encore des questions ? A chaque fois que je crois apprendre des choses elles disparaissent pour autre chose j’aimerais comprendre. Cette homme me le dira j’en suis sur, en sortant de la cathédrale mais cheveux vole derrière moi, je revois ces personnes souriant a leur pieds un chien noir mais pas d’homme, il rit et j’en pleur, pourquoi ? je voudrais savoir…
C’est le seul son qui s’échappe de ma gorge résonnant en écho comme toujours le plus jeune des deux hommes ce tourne et il pleur aussi.
« Si on s’avait… »
Alors sans m’en rendre compte cette phrase m’avait rendue espoir je n’étais pas toute seule a ne pas savoir.
Je partis, laissant derrière moi mes questions pour faire ce que je savais faire…
Dans les journaux du lendemain je sais qu’il pure le lire et l’homme aussi en gros titre :
Le Maire retrouvé mort gelé !
Sur le haut des toits je regarde la lune en me demandant si elle brillera encore demain et si oui m’éclairera t’elle ? Ou me laissera t’elle sombré dans l’ombre de ces mondes s’en avoir put gouté a ces lèvres qui me reste a l’esprit et passé ma main dans les cheveux roux des deux enfants ? Et plongé mon regard dans celui de l’égyptien ?