LA VIE SANS NOM…
Auteur : Gaya H Staim alias Huntera !
Disclaimer: Le petit bonhomme dont je conte les aventure est a moi ^^
Résumé : peut on vraiment avoir le droit de vivre ? Meme une vie sans nom ? A cette époque de Battle Field, il y avait un gamin qui s'était posé cette question...
Note : la premiere partie est totalement en POV ! Un bon point pour ceux qui devine qui c'est !
A une époque, il y a longtemps, il y avait de la neige qui, des fois, tombait sur Battle Field… Ou peut être cela n’était pas si lointain mais seulement dans une région éloigné… En tous cas, dans cette région, dans cette époque, a ce moment la, ici même, la neige tombait doucement apportant avec elle le froid et le vent. De la fumée sortait de la bouche des gardes postés dehors avec leur chien dont leur fourrure était recouvert d’une fine couche. Le froid mordant arrivait à se faufiler dans le grand bâtiment qu’ils gardaient, dans toutes les pièces de toutes les salles de tous les couloirs n’épargnant personne. Surtout cette pièce…
Cette pièce, cet endroit, était quelque chose de simple… rien d’extravaguant ne décorer cet endroit pour ne pas dire rien tout court. Les murs et le sol étaient en ciment pur pour être modeste. Et dans cette salle, et sur ces murs il y avait la des chaînes… Au bout de ces chaînes un enfant d’une quinzaine d’années qui pendait tel un mort les chaînes à ses poignets le mettant debout contre le mur. Ses cheveux châtains cachaient ses yeux orange triste qui ne demandaient qu’à briller de vie. Son pantalon gris était en loque et ses pieds touchaient le froid ciment. Sa chemise blanche était complètement ouverte révélant des cicatrices et des plaies encore fraîches d’où coulait un sang chaud. Comme sur ces joues ou coulaient des larmes sur des moustaches tatouées sur sa peau. Mais, à son cou, se trouvait de chaînes d’argent entremêlait ou pendait deux pendentifs de diamants : une étoile à quatre branche et la dernière branche. Et moi ou je suis depuis le début ? Ben la, c’est moi… Le garçon que vous voyez depuis le début, c’est moi…
Mon nom ? Je n’en ai pas. Tout le monde m’appelle comme il veut ici. Mon nom le plus utilisé était expérience 64. Mes parents ? Je ne l’ai jamais connut. J’ai juste ses pendentifs en souvenir d’eux… Comment je suis arrivé ici ? J’y aie toujours été ! Pourquoi ? C’est simple… Personne vivant ne peut me toucher… C’est pas une blague ! Je suis né ainsi. Quiconque me touche se fait électrocuter sans que je le veuille. On m’a mis ici pour trouver pourquoi. Mais moi, je ne trouve pas la véritable raison de leur coup. Je veux juste voir le monde… Pourquoi me gardent ils ici ?
Ce matin, j’avais encore essayait de m’enfuir. J’avais réussi à passer le mur quand les chiens m’ont rattrapé, m’ont mordu et laissé leur marque sur mes bras découvert mais… paix a leur âmes… Les hommes sont arrivés ensuite me trouvant vider de mon énergie par terre au milieu des cadavres des chiens. Ils m’ont pris avec leurs gants de cuir. Je n’avais plus la force de me débattre. Chaque fois que j’électrocute quelqu’un je perds mon énergie. Ils m’ont attaché à ce mur et m’ont battu. Je n’en pouvais plus, mon corps semblait sur le point de se briser à tout moment. Mes cris de douleur résonnent encore dans ma tête comme le bruit du fouet et des bâtons frappant ma peau. Il n’y a que le silence pour échos. Je sombre encore une fois dans l’inconscience…
Je me réveille, il fait nuit. La neige tombe plus fort mais ce n’est pas le froid qui m’a réveillé. Des bruits de combat dehors, dedans, partout. Que ce passe-t-il ? Serait cette chose qu’on nomme guerre ? Je n’ai pas le temps de me poser plus de question qu’un homme rentre. Il est gigantesque comparé a moi et je ne peux m’empêcher d’essayer de me recroqueviller tellement il me fait peur. Il détruit les chaînes avec son armes puis m’empoigne rudement par le bras pour que je le suive. Il n’avait pas de gant… Je l’ai tué… D’autres hommes arrivent et voyant leur compagnon mort me frappe a mort… Je sombre de nouveau dans l’inconscience…
Quand je me réveille, il y a des cadavres sur moi, autour de moi et au dessous de moi. Je sens qu’on bouge. Nous sommes dans une charrette. Ou plutôt, je suis dans une charrettes remplit de cadavre. Je sens qu’on s’arrête. L’instant d’après je suis jeter dans un trou avec eux. Quand je retrouve mes esprits, je regarde autour de moi, il n’y a personne… enfin, personne de vivant. Je sors du trou et court. Mes pieds nus dans la neige me disent que je suis vraiment vivant. Je cours jusqu'à me retrouver essouffler sous les arbres couvert de neige. Je m’assois dans la neige puis commence a rire de joie. Je suis vivant ! Je suis vivant et libre ! Je roule dans la neige de bonheur. Puis, sentant une présence je me retourne, et la, je vois celui qui sera pour toujours mon ami… Un grand loup gris qui me regarde comme si j’étais un idiot et sans aucune peur. Je m’approche de lui, il ne bouge pas. Je continue il commence a sortir les crocs. Je viens toujours, il grogne mais sa queue et ses oreilles sont levées dans une position de domination. Je suis à quelque centimètre quand il se jette sur moi. J’ai peur ! Pas pour moi mais pour lui, je vais le tuer sans le vouloir, je vais le tuer ! Puis j’ouvre les yeux. Le loup est toujours la vivant grognant sur moi ses pattes sur mes épaules.
" Co-comment ?
- Comment quoi gamin ? Qu’est ce que tu fiches sur mon territoire ?
- M-mais qui êtes vous ?
- Qui je suis ? Je suis Artock et tu es sur mon territoire ! "