Un voyage de transition

Tarnaught: -En effet, elle est très exubérante. Elle a pratiquement tous les hommes du vaisseau à sa botte, seul Etienne et moi-même résistons à ses charmes. Sa lubie du moment est de créer un filtre d'amour pour séduire Etienne, mais jusqu'à présent, toutes ses tentatives se sont soldées par des échecs consécutifs. Je vous laisse je vais aller voir l'étendue des dégâts.

Pendant ce temps, Aiko se relevait dans son laboratoire tout en essayant de chasser la fumée.

Aiko: -Encore raté...Mais qu'est-ce qui ne va pas, pourquoi je ne réussis pas à faire ce filtre d'amour?

Quand soudain elle trouve à ses pieds un livre ouvert sur une page où en gris est écrit: filtre d'amour.

Aiko: -Oh, j'ai trouvé, ENFIN J'AI TROUVE. Alors, voyons les ingrédients.

Elle constata alors que pour réaliser son filtre, cela serait beaucoup plus dur que ce qu'elle prévoyait.

Aiko: -Oh non, c'est pas vrai. La moitié des ingrédients nécessaires ne se trouvent pas dans le vaisseau, et l'autre moitié est extrêmement difficiles à se procurer.

La liste était longue. Il lui fallait entre autres ajouter à la potion un filet de son sang, alors qu'elle n'en supporte pas la vue, mais le pire de tout, trouver l'hymen d'une vierge. Où pourrait-elle trouver ça?

Katarck "Je vois... Un filtre d'amour, quelle drôle d'idée ! Personnellement ce n'est pas vraiment intéressant de forcer quelqu'un à l'aimer... Enfin, ce n'est que mon avis personnel..."

Tandis que l'homme partit, Katarck se remit très vite au travail. Elle allait bosser jour et nuit sur ce vaisseau, elle voulait à tout prix le remettre en état pour pouvoir partir ! Si elle ne revenait pas assez vite, les autres allaient se poser des questions...

Pendant que Ezoq et Katarck sont en train de réparer le vaisseau et que Tarnaught constate le nouvel échec d'Aiko, Videl se promène dans le vaisseau et observe tout ce qui se passe. Il passe alors dans le hangar de communication, là où le vaisseau est en réparation. Il observe longuement et froidement la jeune femme qui lui a empêcher d'observer la psychologie de son sujet. Plus loin dans le vaisseau, Etienne seul dans la salle de musculation, s'entraîne. Torse nu, son corps porte les marques de son passé triste et lugubre. Des traces de coups, des impacts de balles, d'épée, des brûlures...Tout ceci sont des blessures qu'il a reçues au combat ou bien encore au cours de ces sombres séances de tortures qu'il a subies. Sur son épaule gauche, on peut distinguer le tatouage d'une aile noire, symbole de paria sur Solleina. Depuis maintenant plus de vingt minutes, Etienne s'acharnait sur un sac de sable, portant des coups de plus en plus violent à chaque fois.

Etienne: -*Je ne sais pas où je vais, je ne sais pas ce que je dois faire, est-ce que je deviens fou?*

Katarck continuait à réparer le vaisseau, à l'aide d'Ezoq. Cette personne avait de bonnes connaissances à ce sujet, et ils avaient fait une bonne partie du travail en quelques heures. Mais c'était loin d'être terminé. Katarck se sentait visée, elle ne savait pourquoi. C'est alors qu'elle s'arrêta. Et se tourna vers Ezoq.

Katarck "Bon, je pense qu'on devrait faire une pause. Je ne voudrais pas vous paraître envahissante, mais... Je voudrais savoir s'il serait possible d'avoir une chambre, enfin une pièce de ce genre pour me reposer. Je préviendrai mes amis par la même occasion. Mais si ce n'est pas possible, ce ne sera pas grave, je dormirai dans mon vaisseau."

-Pour une chambre, je pense que c'est possible. Pour ça il faudrait demander à Etienne...enfin je veux dire au chef. Suivez-moi, la plupart du temps il doit être dans sa chambre.

Suivi par Katarck, Ezoq arriva au niveau de la chambre d'Etienne, mais il ne trouva personne à part Garnet. Elle était assise sur le lit d'Etienne, pensive.

Ezoq: -Garnet, tu n'aurais pas vu Etienne?
Garnet: -Il est parti il y a quelques minutes. Il a pris la direction de la salle de mucsulation.

Katarck suivit Ezoq, jusqu'au moment où ils arrivèrent dans la chambre du Chef. Elle regarda la personne qui s'y trouvait, une jeune femme du nom de Garnet... Tiens... Ce nom lui disait quelque chose... Katarck la salua, cette idée de déjà vue quelque part dans la tête. C'est alors qu'elle dit où se trouvait Etienne. Katarck la regarda, puis regarda Ezoq.

Katarck "Je vous suis."

Ezoq et Katarck arrivèrent à la salle de musculation. A l'intérieur, Etienne frappait sur les sacs de sable avec acharnement. Il n'arrêtait pas de penser à Azdurg et à tout ce qu'il a subi à cause de cet homme. Son visage n'affichait que de la haine, son regard était celui d'un homme déterminé à tuer quelqu'un, en l'espace de quelques minutes, il est passé d'un homme froid et réservé à un homme au regard de braise et prêt à tuer n'importe qui. Ezoq hésita à parler un instant puis il dit.

Ezoq: -Heu...Etienne.
Etienne: -QUOI? Oh excuse, je ne faisais pas attention.
Ezoq: -Pas grave. Est-ce que l'on a une chambre dans le vaisseau de disponible pour Katarck?
Etienne: -Elle n'a qu'a prendre la chambre à côté de celle de Garnet.
Ezoq: -Mais c'est celle de Videl.
Etienne: -Justement, il n'y dort jamais, elle servira au moins à quelqu'un.

Pendant ce temps, dans la chambre d'Aiko.

Tarnaught: -Bon sang, c'est encore pire qu'un champ de bataille ici.
Aiko: -T'est venu ici pour faire de l'esprit?
Tarnaught: -C'était juste pour constater que tu d'entêtes à vouloir créer ce filtre d'amour. Si j'étais toi je laisserais tomber.
Aiko: -Ah non! Pas question que je laisse tomber en si bon chemin.
Tarnaught: -"En si bon chemin"? T'est optimiste dis-donc. Depuis trois jours, c'est de la fumée et des explosions dans ta chambre. On devrait presque ouvrir les écoutilles pour aérer.
Aiko: -Fais ton malin si tu veux, mais j'ai trouvé la formule dans ce livre. Il ne me manque que les ingrédients.
Tarnaught: -Encore un essai qui va rater.
Aiko: -Tu feras moins le malin quand tu me trouveras à partager le même lit qu'Etienne, je peux te le garantir.

Plus loin, dans la soute.

Videl: -*Je pense que cette jeune femme a besoin que je lui rende une "petite visite" afin de lui faire comprendre à quel point je déteste ces manières d'intervenir dans les affaires des autres.*

Katarck marchait tranquillement, jusqu'au moment où elle arriva enfin devant la porte de la chambre. Elle y entra. Cette chambre était loin d'être négligeable. C'était certain qu'on préférerait dormir dans un lit à deux places, avec un bon matelas moelleux, plutôt que dormir dans un siège froid d'un vaisseau ! Elle s'installa alors, enlevant sa veste zippée, et ses chaussures à talons. Dans son dos, même avec le bustier violacé qu'elle portait, on pouvait distinguer de subtiles cicatrices. Des cicatrices qu'elle garderait peut-être, toute sa vie. Mais maintenant, elle s'en fiche. A l'aide d'un petit appareil, elle entra en contact avec Rey.

Rey "Purée, tu m'as fait peur, je pensais que tu revenais une heure après la communication de l'autre fois !"

Katarck "J'ai eu un contre temps. Mais je n'ai rien, heureusement les armes non plus. Mais il va me falloir du temps pour revenir."

Rey "C'est à dire ?"

Katarck "Entre un et trois jours."

Rey "QUOI ? Mais Hiruma va me tuer !!! Il va être tellement stressé qu'à la moindre connerie vais morfler!" TmT

Katarck "Je m'en fous, tu le fais patienter."

Rey "Ok. Je prépare mon testament." T_T

La communication se coupa. Katarck soupira. C'est vrai qu'elle aurait aimé passer la nuit avec son démon. Mais ce n'était que partie remise. Là, elle était fatiguée. Bosser sur ce fichu vaisseau l'avait crevée, bien qu'elle s'était améliorée en mécanique, elle n'était pas franchement patiente avec ce genre de choses. Elle s'installa sur le lit, s'allongeant simplement, et s'assoupit légèrement.

Tout le monde dort à présent dans l'Ultima, enfin presque. Etienne ne dormait pas, il était seul dans la salle de contrôles. Après la rage qu'il affichait dans la salle de musculation, son visage avait complètement changé, affichant à présent la tristesse. Toujours perdu dans ses pensées, il observait le vide sidéral de l'espace.

Etienne: -Est-ce que je peux servir à quelque chose à part combattre et tuer? Je n'ai jamais rien su faire d'autre dans la vie. Malgré toutes ces rencontres depuis ma fuite, j'ai le sentiment que rien ne change

Garnet non plus ne dormait pas. Seule dans sa chambre, elle cherchait désespérément le sommeil, mais ne parvenait pas à fermer l'oeil. Elle aussi pensait à beaucoup de choses. A son ami perdu quelque part, à Etienne à qui elle n'arrive pas à lui avouer certaines choses.
Et enfin, il y avait Videl, qui n'a pas du tout apprécié que l'on puisse le priver de deux choses pour lesquelles il se trouve ici: Les âmes fraîches, et surtout d'étudier la psychologie d'Etienne. Il s'approche de la chambre dans laquelle dort Katarck, la lance à la main.

Videl arrive près de la chambre de Katarck, il ouvre lentement la porte et regarde attentivement pour s'assurer qu'elle dort bien. Puis calmement, il s'approche du corps, la lance à la main.

Videl: "-*Je t'offre mon avertissement. Demain tu te réveilleras avec deux grandes cicatrices aux bras, et la sensation d'être encore plus fatiguée que lorsque tu t'étais endormie.*

Etienne lui, était encore dans la salle de contrôles. Quand soudain il vit un point s'agiter et s'approcher dangereusement du radar. En activant les écrans, Etienne vit un imposant vaisseau s'approcher de l'Ultima.


Etienne: -Oh mince, Azdurg a osé envoyer le Chaos à mes trousses.

La jeune femme dormait. Elle semblait en train de rêver, à moins qu'ils ne s'agissait d'un cauchemar. Elle avait chaud. tout autour, des flammes meurtrières, des étincelles. Des choses qui se consumaient... Elle était à terre, elle n'arrivait pas à bouger, du moins, à se relever. Et au-dessus d'elle... Il était là. Avec son sourire avide, entre la schizophrénie et la folie, son visage presque angélique déformé par cette expression meurtrière ! Il tenait un pieu d'acier dans sa main. Il avait également ce surnom-là. C'est alors qu'il le brandit, prêt à le lancer sur elle, qui était à terre !

Reks "Meurs !"

Elle se réveilla alors en sursaut. En une fraction de secondes, deux flingues apparurent dans ses mains, et elle les brandit devant elle. C'est alors, qu'à sa surprise, c'était Videl, lance à la main, qui se trouvait là ! N'était-ce qu'une coïncidence ?

Katarck "Tu es... Videl, c'est bien ça ?"

Un regard impassible ornait le visage de la jeune femme. Brandissant toujours les armes vers le démon. Des armes un peu particulières...

Videl s'apprêtait à planter sa lance dans le bras de Katarck et à lui pomper son énergie, quand soudain cette dernière se réveilla en sursaut et sortit deux pistolets et les pointa en sa direction. Videl stoppa net son élan, sa lance au dessus de lui. Katarck lui demanda alors s'il s'appelait bien Videl. Ce dernier baissa son arme et répondit.

Videl: -Tout juste. Je constate que vous avez le sommeil bien léger.

Au même moment, Etienne observe la progression du Chaos qui les poursuit. Etienne activa alors les canons lasers et les pointa sur le vaisseau Figernien.

Etienne: -Il n'est pas question que je me laisse attraper. Je vais détruire le Chaos, même si je dois le faire seul.

Katarck ne dit rien au début. Elle finit par baisser ses armes, fixant toujours le démon devant elle. Alors c'était lui Videl...

Katarck "Une constatation parmie tant d'autres. Je vois également que vous êtes rancunier."

C'est alors qu'elle sentit une secousse. Elle sortit du lit pour regarder par la fenêtre. Un vaisseau ennemi.

Katarck "Vous pourrez vous rattraper finalement."

Etienne s'acharne sur le Chaos qui approchait de plus en plus de l'Ultima, mais les tirs de lasers n'arrivent pas à égratigner les boucliers de l'ennemi. Etienne active alors la rampe de communication et se rend dans le hangar.

Etienne: -Puisque je ne peux pas les détruire de l'extérieur, je le ferais de l'intérieur.

Etienne dégaina son épée et attendit calmement que la rampe ait fini de s'ouvrir. Au même moment, tout le monde dans le vaisseau est réveillé par l'alarme qui retentit dans le vaisseau.

Videl: -Je constate que le chef va de nouveau vouloir combattre, finalement je vais pouvoir étudier la psychologie de cet homme étrange.

Dans le hangar, Etienne observe l'ennemi qui s'accumule en masse devant la rampe de communication. Epée à la main, Etienne recule lentement jusqu'au mur derrière lui.

-La partie est finie Orak. Suivez-nous sans opposer de résistance.

Soudain, une aura sombre, bleutée, commença à entourer Etienne, ses yeux se mettent à virer au rouge sang. Quelques figerniens s'avancent en sa direction pour le saisir, quand soudain, d'un geste vif du bras, Etienne fait jaillir un grand éclair bleu qui brûle sur place les imprudents. Plus loin, au même moment, Videl subit un choc violent.

Videl: -*Qu'est-ce que...Du Mana? Quelqu'un ici manipule la magie originelle? Comment est-ce possible.*

De retour au hangar, Etienne observe longuement les autres figerniens d'un regard qui inspire la peur, quelques uns commencent à reculer. Poussant alors un cri de rage, Etienne charge les figerniens épée à la main.

Katarck ne répondit pas au début. Elle enfila ses talons, et remit sa veste zippée. Préparant ses flingues, elle regarda Videl dans les yeux.

Katarck "Je m'assurerai de ne pas entrer dans ta "zone" de combat. Moi tout ce qui m'intéresse, c'est qu'ils ne volent pas "mes" armes."

C'est alors qu'elle sortit de la chambre. Apparemment, ce n'était pas qu'elle était de mauvaise humeur. Mais le fait que le vaisseau soit attaqué à peine après qu'elle soit réveillée, ce n'était pas réellement une bonne chose... Pour les assaillants.

Videl suivit Katarck jusqu'au hangar où vraisemblablement on sa battait. En arrivant au bout du couloir qui y mène, un cadavre est violemment projeté contre le mur. Ce dernier était à moitié calciné et couvert de sang. Videl jeta un coup d'œil dans le hangar et vit Etienne qui se battait avec une rage d'une rare violence. Son corps dégageait une aura sombre, semblable à celle d'un être chaotique.

Videl: -*Cet aura. C'est donc lui qui a utilisé de la magie pure il y a un instant.*

Videl avait les yeux rivés sur Etienne. Il avait enfin compris pourquoi Etienne l'avait laissé vivant la dernière fois: Etienne n'a pas le contrôle total de ses pouvoirs. Quelque chose, où quelqu'un, lui fait perdre le sens des réalités au combat. Alors qu'il observait Etienne, il est surpris par le tir d'un flingue. Il vit Katarck, pistolet en main, qui avait envoyé un ennemi à terre à une dizaine de mètres avec une seule balle. Quelle arme surprenante. Etienne lui continuait dans sa folie meurtrière, tous ceux qui se jettent sur lui tombent l'un après l'autre, sans pouvoir esquisser le moindre geste, le sol du hangar se recouvre petit à petit d'une immense mare de sang, avec Etienne au milieu, ne semblant pas souffrir de quelconque blessure. Etienne mit encore un soldat à terre et observa les autres qui se tenait devant lui, puis il dit d'une voix grave et caverneuse:

Etienne: -Approchez...Essayez de me tuer.

Les figerniens se mirent petit à petit à battre en retraite dans le Chaos, et ce dernier se mit à s'éloigner de l'Ultima. Etienne, seul au milieu du hangar vit son aura de dissiper, puis soudain, Etienne s'écroule au sol sans connaissance.

Katarck vit Etienne s'écrouler. Elle fit disparaître ses flingues et s'approcha de lui.

Katarck "Il a perdu connaissance. Nous devrions l'emmener à l'infirmerie."

Elle essaya de le porter. Tandis que l'évènement actuel était sa plus grande pensée, une autre s'était insérée dans son esprit.

Katarck ***Avec tout ça, mon vaisseau ne risque pas d'être réparé... C'est bien ma veine...***

Elle soupira. Le rétablissement d'Etienne était la priorité. Elle regarda Videl.

Katarck "Où est l'infirmerie ?"

Videl: -L'infirmerie n'est pas en fonction dans ce vaisseau, Etienne n'a pas trouvé quelqu'un d'apte à s'en occuper. Il faut le confier à Garnet, avec sa magie blanche, il sera sur pied demain.

Les deux portèrent alors Etienne inconscient, les vêtements maculés du sang de ses victimes. Ils arrivèrent alors à la chambre de Garnet. En voyant le sang couler des vêtements d'Etienne, elle prend peur.

Garnet: -Qu'est-ce qui s'est passé?
Videl: -Un combat sanglant dans le hangar. Une horreur. Mais ne t'en fais pas, il n'est pas blessé, juste sonné.
Garnet: -Allonge-le sur le lit, je vais le soigner.
Videl: -Je vous laisse, je vais voir si il y a une ou deux âmes qui traînent encore dans le hangar.

Katarck "Ok. Je vais rester ici un peu."

La jeune femme ne voulait pas déranger Garnet qui s'occupait d'Etienne. Elle regardait juste par la fenêtre, l'espace. Rien à l'horizon. Elle ne dit qu'une phrase, pour décrire le démon avide d'âmes...

Katarck "Etrange démon... Mais pareil que les autres..."

Puis quelques minutes après, elle s'installa, prenant une chaise pour l'approcher du lit, et s'assoir dessus, fixant le blesser et la mage blanche. Elle lui rappelait Kaa. Mais sérieusement, ce nom lui disait quelque chose !

Katarck "Hum..."

Garnet était concentrée sur Etienne, mais aussi un peu nerveuse. C'était la première fois qu'elle touchait Etienne, lui qui est si distant avec elle. Elle posa ses mains sur la tête d'Etienne et prononça des incantations magiques afin de le soigner. Katarck s'approcha du lit et s'assit sur une chaise. Elle avait l'air de vouloir demander quelque chose, mais elle semblait ne pas vouloir déranger.

Garnet: -Un problème?